
DAGOBA – « Tales Of The Black Dawn »
Les marseillais avaient annoncé la couleur avec leur album Post Mortem Nihil Est, ils jouent à présent dans la cour des grands. Ils nous reviennent
chant : Jérémie Sire,
basse & chœurs : Christophe Canal,
batterie et chœurs : Tarzan,
guitare et chœurs : Mathieu Py,
guitare : Etienne Peguet
Breaking The Bank fusionne les vagues metal anciennes et modernes pour délivrer des morceaux denses et jouissifs, où les chœurs entraînants soutiennent un chant puissant et mélodieux. Les riffs tranchants y sont ponctués de vibrantes harmonies et soutenus par une section rythmique énergique. Les soli ne manquent pas à l’appel, tout comme les refrains entêtants. Le tout se matérialise dans des morceaux composites : de trash épique à ballade mystique, en passant par des progressions rock metal dynamiques.
C’est ainsi que Breaking The Bank propose un metal singulier, riche en couleurs et en sonorités, pouvant convaincre même les non-initiés.
Le projet débute à l’aube des années 2010 dans un garage vésulien, avec un rock initialement inspiré des Red Hot, Deep Purple et Metallica. Les changements de membres et d’époque font évoluer le groupe vers des compositions plus heavy, pour aboutir en 2017 à leur formation définitive : un metal plus moderne, riche et progressif, infiltré par Mastodon, System of a Down et Gojira.
Abreuvés par 50 ans d’histoire metal, les 5 franc-comtois de Breaking The Bank proposent aujourd’hui jusqu’à 1h45 de set aux ambiances variées. Ils dégagent sur scène une énergie forte, sincère et captivante. Les années passent et leur motivation reste : plus que jamais, ils sont impatients de tâter de la scène et de conquérir de nouveaux publics.
Lieux de passage marquants :
Tremplin : Wanagain Festival [21], Crazyfest [39], Jargeau Plage [45]
Echosystem [70]
Festival Lac en Zik [70]
Salines Royales d’Arc-et-Senans [25]









Les marseillais avaient annoncé la couleur avec leur album Post Mortem Nihil Est, ils jouent à présent dans la cour des grands. Ils nous reviennent

Disponible dans votre magasin Cultura Besançon Vous allez rire, je n’avais jamais écouté Lamb of God jusqu’à aujourd’hui ! Pas que l’occasion ne se soit