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TRIOSPHERE, STRIKER et SONATA ARCTICA – La Rodia

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TRIOSPHERE, STRIKER et SONATA ARCTICA – La Rodia à Besançon, Mardi 14 mars 2017 – Live Report by Lola

 

Ce n’est que la 2e fois que je viens à La Rodia. La première c’était pour Michael Schenker Group. J’avais beaucoup apprécié cette petite salle si intime et conviviale.

Aujourd’hui, au programme, soirée Heavy et et Metal symphonique !

 

Le premier groupe sur scène ce soir, c’est TRIOSPHERE, un groupe de heavy metal Norvégien. Aux manettes : Ida, jolie blonde à la voix claire, qui assure le chant et la basse ; Tore Ole (le blond) et Marius (le brun) sont aux guitares et Kenneth à la batterie.

Le groupe n’est pas très connu en France je crois. Ils ont donc la lourde charge de « réveiller » le public encore peu nombreux dans la salle.

L’ambiance est très calme, mais les spectateurs semblent apprécier la prestation du groupe qui reste assez soft mais très propre, même si on sent peut-être un manque d’assurance coté jeu de scène.

 

Photos TRIOSPHERE :

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Suivront ensuite les Canadiens de STRIKER. Là, ça réveille !! On passe sur du heavy metal tendance Hard Rock, efficace et hyper dynamique.

La voix de Dan Cleary est remarquable : il est capable de monter assez haut dans les aigus, tout en gardant une puissance vocale qui marque. Le batteur s’éclate derrière  ses futs : c’est sportif ! Il n’arrête pas de gesticuler ! Devant sur le bord de scène, headbanging et cavalcades de droite à gauche et de gauche à droite sont de rigueur. Quelle présence et quelle qualité artistique ! Super découverte : j’adore.

 

Photos STRIKER :

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Le temps pour le public d’aller boire une bière (la Rouget de l’ile Ambrée est fort sympathique !!) ou faire quelques emplettes sur les merch’ des 2 premiers groupes, la scène se vide, laissant place à une nouvelle batterie perchée en fond de scène à gauche, un clavier à droite et 3 micros devant.

L’image de fond de scène des Finlandais de « SONATA ARCTICA » apparaît.

Encore quelques minutes d’attente. Le public patiente sagement. Enfin la 1ère note… douce, mélodieuse. Une voix d’outre-tombe questionne « Are you ready to rock with Sonata Arctica ?”

Le public hurle ! Les artistes entrent en scène : c’est parti !

Si les 2 premiers groupes ont laissé libre court aux photographes durant la totalité de leurs sets, cette fois, 3 chansons seulement ! Il ne faut pas se rater : dommage, les jeux de lumières seront plus intéressants sur les morceaux suivants…

La voix de Tony Kakko est fabuleuse, claire et passant sans hésitation du grave à l’aigu. Les chansons calmes et énergiques alternent. Sur la 4e, Tony prend le temps de s’assoir sur le bord de la scène, à quelques centimètres du public qui chante avec lui.

Le rythme soutenu reprend. Le guitariste offre au public quelques superbes solos. Il y a du niveau !

Coté jeu de scène, c’est une vraie chorégraphie. Peu de place à l’improvisation je pense, mais c’est très bien fait, très pro.

Le power metal, tendance metal symphonique de Sonata Arctica est très efficace sur scène.

Lors du rappel, Tony organise un petit jeu entre le public et le groupe, ou la partie gauche, centrale ou droite de la salle reprendront en chœur une histoire de Vodka !

L’ambiance est bien là. Les Finlandais, tout comme les canadiens et les norvégiens, auront, je n’en doute pas, laissé le souvenir d’une bonne soirée au public.

 

Photos SONATA ARCTICA :

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Lola Photographie – Laurence AMIELH

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